La guerre au Liban

Encore la guerre au proche-orient. Encore des hommes et des femmes qui sont tués. Ca me révolte de voir que c’est malheureusement toujours pareil dans ce coin du monde. Je ne prendrai jamais parti pour l’un ou pour l’autre camp dans cette guerre où des innocents meurent des 2 cotés. Car, bien à l’abri dans son calme pays, c’est trop facile d’accuser sans vivre au quotidien la situation de tous ces gens. Prendre parti pour un camp c’est prendre le parti de la guerre, car dans cette région du monde seule la loi du Talion (Œil pour œil, dent pour dent) dicte les pensées. Donc soutenir un camp c’est, sans le vouloir, soutenir la réplique de l’autre camp.

Ce message s’adresse à monsieur Bush qui, depuis toujours, soutient sans faille le gouvernement d’Israël.
Ce message s’adresse à tous ceux qui manipulent et fanatisent les pensées contre Israël.
Bref, ce message s’adresse à ceux qui soutiennent un camp, prenant ainsi le parti de la guerre.
Par vos propos, vous ne faites qu’envenimer et radicaliser la situation.

Arrêtez de me casser les oreilles avec vos discours fachos, pensez aux familles déchirées par des années de guerre, pensez aux enfants qui vivent la guerre alors qu’ici ils y jouent. Nous qui vivons dans des pays en paix, montrons leur l’exemple et essayons de leur trouver des solutions de paix plutôt que de guerre.

Un petit mot quand même sur Zidane

Alors autant, je peux comprendre (sans pour autant excuser) le geste d’énervement que Zidane a eu sur Materazzi. Je joue au foot et je sais que, quand pendant tout un match, un joueur de l’équipe adverse te provoque par des gestes ou des mots, ça énerve, ça use et avec la fatigue tu peux craquer.

Par contre, quand 3 jours après, Zidane dit qu’il ne regrette pas, là je trouve ça très nulle et très bête de sa part. Plusieurs raisons font qu’il aurait du regretter son geste.

D’abord, regretter pour Materazzi car de toute façon ça ne le rendra pas plus intelligent et il recommencera vu que c’est pas la première fois et qu’il a eu ce qu’il cherchait à savoir l’expulsion de Zidane.

Ensuite, regretter pour son équipe, qu’il pénalise d’un joueur à 10 minutes de la fin du match.

Et surtout, regretter pour lui-même. C’est incroyable de ne pas regretter d’avoir commis ce geste à 10 minutes de la fin de sa carrière. C’est incroyable de ne pas s’être rendu compte qu’il est tombé bêtement dans un piège.

Enfin, je trouve qu’il se trompe complètement quand il dit : « ne rien faire c’est donner raison aux provocations ». C’est tout le contraire monsieur Zidane ! Si tu ne réponds pas aux provocations, si tu les ignores, ces provocations n’atteindront pas leur but. En répondant aux provocations de Materazzi, tu t’es fait expulser, l’Italie a donc fini le match avec un joueur de plus, il a donc eu raison de te provoquer.