CHARTE DES DROITS FONDAMENTAUX DE L'UNION EUROPÉENNE
Article 19
Protection en cas d'éloignement, d'expulsion et d'extradition
1. Les expulsions collectives sont interdites.
2. Nul ne peut être éloigné, expulsé ou extradé vers un État où il existe un risque sérieux qu'il soit soumis à la peine de mort, à la torture ou à d'autres peines ou traitements inhumains ou dégradants.
Mais bon, en Afghanistan, c'est bien connu, il n'y a pas ce genre de risque...
28 octobre 2009
12 octobre 2009
Fils de...
2007: "Je veux que les nominations soient irréprochables"
2009 : "Mon fils à la tête de l'Etablissement Public d'Aménagement de La Défense"
2009 : "Mon fils à la tête de l'Etablissement Public d'Aménagement de La Défense"
30 septembre 2009
Adieu Brice !
Je ne t'oublierai pas...
tué par une horde de barbares nationalistes très loin des idées que tu avais du football.
Pour toi le football, c'était une occasion de plus de faire la fête.
Je garderai en mémoire, ta bonne humeur, tes vannes, ta joie de vivre.
De là haut, tu pourras suivre tous les matches du téf...
tué par une horde de barbares nationalistes très loin des idées que tu avais du football.
Pour toi le football, c'était une occasion de plus de faire la fête.
Je garderai en mémoire, ta bonne humeur, tes vannes, ta joie de vivre.
De là haut, tu pourras suivre tous les matches du téf...
04 juin 2009
Dimanche 7 juin : Votons Europe Décroissance
Une croissance illimitée dans un monde fini est une absurdité !"Vivre plus simplement pour que d’autres puissent simplement vivre." Gandhi
Si tu es d'accord avec ça, dimanche vote pour "Europe Décroissance".
Parce que, aujourd’hui, si tous les humains vivaient comme un Européen, il faudrait au moins 3 planètes. Ce modèle de développement n’est donc pas généralisable : il doit être remis en question.
Profession de foi et bulletin de vote à imprimer sur : http://www.europedecroissance.eu/
27 mai 2009
18 février 2009
Partage des richesses ?
Selon l'INSEE, seulement 5,5% du profit est redistribué aux salariés contre 42 % aux actionnaires (les 52% restant étant réinvestis).
Prenons l'argent où il se trouve.
De l'argent il y en a : dans les poches du patronat !
Voir le détail
Prenons l'argent où il se trouve.
De l'argent il y en a : dans les poches du patronat !
Voir le détail
30 janvier 2009
Casse toi pov' con !
Quelques slogans issus de la manif du 29/01 :
- Casse toi pov’ con
- Et là tu la vois la grève ?
- Travailler moins pour vivre mieux
- Des sous pour l’hôpital pas pour le capital
- Ouvrir une école c’est fermer une prison
26 janvier 2009
Appel à une grève reconductible
Face à une classe dirigeante politique et économique qui n’a d’autre vision que de sauver la face d’un système capitaliste en perdition, les organisations syndicales doivent aujourd’hui lancer une riposte à la hauteur de l’enjeu. Nous devons arrêter de céder du terrain aux organisations patronales et au gouvernement.
Arrêtons de pleurer sur le sort des entreprises quand les profits et les rémunérations de leurs cadres dirigeants et actionnaires ne cessent d’augmenter et que ceux des travailleurs sont qualifiées de « coût » et rognés systématiquement.
Fini les grèves d’un jour chacun dans son coin, fini les pétitions, fini les rassemblements symboliques, fini les négociations-compromis au sommet. Tout cela ne mène qu’à accepter de perdre chaque fois un peu plus de postes d’enseignants, d’années de retraite, d’allocations chômage, de stabilité de l’emploi, de notre santé, de liberté d’expression, de temps libre… de nos vies tout simplement.
Gouvernement et patronat ne lâcheront rien sans un mouvement fort, interprofessionnel et prolongé. C’est ainsi que les grandes conquêtes sociales (congés payés, Smic, retraites,...) ont été obtenues. Aujourd’hui nous n’obtiendrons rien en un jour, ni l’arrêt des licenciements, ni d’augmentation de salaire, ni l’arrêt des suppressions de postes dans la fonction publique, ni la sauvegarde et la reconquête de nos libertés.
Le 29 janvier, ce n’est qu’un début. Ne capitulons pas encore une fois, construisons une grève interprofessionnelle reconductible
Arrêtons de pleurer sur le sort des entreprises quand les profits et les rémunérations de leurs cadres dirigeants et actionnaires ne cessent d’augmenter et que ceux des travailleurs sont qualifiées de « coût » et rognés systématiquement.
Fini les grèves d’un jour chacun dans son coin, fini les pétitions, fini les rassemblements symboliques, fini les négociations-compromis au sommet. Tout cela ne mène qu’à accepter de perdre chaque fois un peu plus de postes d’enseignants, d’années de retraite, d’allocations chômage, de stabilité de l’emploi, de notre santé, de liberté d’expression, de temps libre… de nos vies tout simplement.
Gouvernement et patronat ne lâcheront rien sans un mouvement fort, interprofessionnel et prolongé. C’est ainsi que les grandes conquêtes sociales (congés payés, Smic, retraites,...) ont été obtenues. Aujourd’hui nous n’obtiendrons rien en un jour, ni l’arrêt des licenciements, ni d’augmentation de salaire, ni l’arrêt des suppressions de postes dans la fonction publique, ni la sauvegarde et la reconquête de nos libertés.
Le 29 janvier, ce n’est qu’un début. Ne capitulons pas encore une fois, construisons une grève interprofessionnelle reconductible
22 janvier 2009
02 janvier 2009
Faut pas payer !
Nous ne paierons pas : Vive la crise
Autoréduction au Monoprix le 31 décembre
Comme à Rennes, et à Grenoble, une cinquantaine de précaires, chômeurs, intermittents de l’emploi, du spectacle, étudiants... ont bloqué le 31/12 les caisses du Monoprix de la rue du faubourg Saint Antoine.
13 chariots pleins sont sortis du magasin après des négociations avec une direction qui a logiquement choisi de ne pas prolonger le blocage des caisses (perte de chiffre d’affaire) ou de prendre le risque d’une intervention policière dans les rayons.
Une partie des produits ainsi distraits au commerce a été fournie aux sans-papiers de la Bourse du travail de Paris occupée et aux mal logés en lutte du gymnase Saint Merry.
Soldes de 100%
avant fermeture définitive du capitalisme
Autoréduction au Monoprix le 31 décembre
Comme à Rennes, et à Grenoble, une cinquantaine de précaires, chômeurs, intermittents de l’emploi, du spectacle, étudiants... ont bloqué le 31/12 les caisses du Monoprix de la rue du faubourg Saint Antoine.
13 chariots pleins sont sortis du magasin après des négociations avec une direction qui a logiquement choisi de ne pas prolonger le blocage des caisses (perte de chiffre d’affaire) ou de prendre le risque d’une intervention policière dans les rayons.
Une partie des produits ainsi distraits au commerce a été fournie aux sans-papiers de la Bourse du travail de Paris occupée et aux mal logés en lutte du gymnase Saint Merry.
Soldes de 100%
avant fermeture définitive du capitalisme
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